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jeudi 26 janvier 2012

bnp Paribas wealth managment: suite aux mauvais conseils de son banquier, G a perdu plus de 600 000 euros soit environ 80% de toute sa fortune, il y a environ 7 ans.

Depuis il a vécu sur son capital et aujourd’hui il n’est plus que l’ombre de ce qu’il a été. imaginez du reste qu’un tel crach vous tombe dessus, vous verrez quel effet cela peut faire et ou cela vous conduit
Dans l’assignation qu'il a lancé contre la banque, BNP PARIBAS MONACO PRIVATE BANKING WEALTH MANAGMENT le point sur lequel il attaque  c’est défaut de conseil et d’information et le manquement ) ses obligations de professionnel.
Sous cette formule qui n’a l’air de rien se cachent des lois très strictes qui encadrent le métier de banquier ( nb les banques monégasques sont sous la tutelle de la Banque de France). Les banquiers ont en effet une obligation de conseil et d’information et doivent donner aux client tous les détails sur les risques encourus, d’une part et sur la façon d’optimiser leur patrimoine en diversifiant les placements

C’est pour ces raisons qu’en Italie lorsque les clients ont attaqué les banques qui leur avait fait acheter les obligations argentines en omettant de leur signaler que c’étaient des junk bonds,  la plupart des particuliers qui avaient assigné les banques ont gain eu de cause

En investissant la quasi totalité du patrimoine de ses clients en obligations argentine la BNP PARIBAS PRIVATE BANKING WEALTH MANAGMENT et Mr Stillitano ont commis une faute grave 

1/puisqu’il n’a pas respecté cette stratégie de diversification des risques.

2/ surtout car il n’a pas signalé à ses clients, ainsi qu’il y était tenu, les risques qu’il encourraient en investissant dans des junk bonds, et bien eu contraire il leur a présenté ces obligations comme des placement de père de famille à une époque où l’argentine était déjà largement décotée par les agence de notation ( ce que le banquier en tant que professionnel ne pouvait ignorer. ( un peu comme si aujourd’hui votre banquier vous disait que les obligation grecques sont des placement de père de famille!!!!)

3/ Enfin encore plus grave le livret qui accompagne obligatoirement les obligations, l'Offering Circular tango bonds ( que j’ai trouvé sur internet sur le site du conseil de l’Europe ) en particulier pages 23, 24 et 25, lors de leur mise en vente sur le marché stipulait clairement qu’elles étaient à haut risque et de ce fait interdites à la vente au public.

LES OBLIGATIONS SONT INTERDITES A LA VENTE A UN PUBLIC NON PROFESSIONNEL ET NON AVERTI DES HAUTS RISQUES ENCOURRUS


Mais cela n’a pas empêché les banques, la BNP Paribas Private Banking Wealth managment  et Stillitano de les “fourguer” à leur clients, peu leur importait en effet le faire perdre ou gagner de l’argent à ceux ci car leur seul intérêt était de faire gagner de l’argent à la banque qui encaissait les commissions.


4/ Cela n’a aucune importance que les client aient signés ou pas des ordres d’achat ou de vente, car le simple ait que le banquier n’ait pas respecté ses obligations de conseil et d’informations rend ses ordres nuls et non avenus.

De fait G n’a pas contesté la véracité des ordres bien que la banque ne puisse en produire aucun, ce qui est tout de même bizarre.

5/ Enfin des 2000 comme le prouve la note  produite sur le site OWNI, La banque BNP PARIBAS PRIVATE BANKING WEALTH MLANAGMENT et Pascal Stillitano savaient qu’ils auraient du “nettoyer” les comptes des clients et donc leur faire vendre les obligations argentines qu’ils détenaient ( au lieu de leur en faire acheter).

SI ils avaient vendu à cette époque les fameuses obligations argentines, la décote n’était que de 10% et les clients auraient donc retrouvé 90% de leur capital. il appartenait au banquier d’appliquer son devoir de conseil et d’information et donc de faire vendre aux clients ces obligations. Cela aurait bien réellement protégé leurs intérêts .

a l'époque des faits la ueb etait filiale à 100% de la bnp
http://www.linkedin.com/pub/eric-georges/22/5b4/935

nb remarquez aussi que comme on peut le lire sur le  site OWNI la banque a peur d’être assignée en public, et fuit ses responsabilités

nbnb : le devoir de “déconseil” qu’évoque Franck Michel l’avocat de la bnp Paribas Monaco, dont les propos sont repris par Monaco Hebdo, est non seulement une blague douteuse, mais un détournement de la réalité législative qui existe bel et bien. C’est très grave qu’un avocat tourne ainsi la loi en dérision


Fight for your rights. 
Francoise zorro

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