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Fred Nall Hollis: toxic gigolo. L'argent de ma femme il n'est que pour moi !

Divorce "Hollis contre Hollis", Patricia Cole contre le peintre Fred Nall Hollis : justice  est elle enfin rendue ?


L'Honorable Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette,  rendait  le mercredi 29 octobre 2014 une décision sans appel: Il donnait 14 jours à dater du 29 octobre 2014 ( soit  jusqu'au 13 novembre 2014) à Fred Nall Hollis dit Nall pour rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, Patricia "Tuscia" Cole … Si Nall n'obtempérait pas dans le délai imparti, il y aurait  "outrage à magistrat"  et Nall devrait peut être se rendre  tout droit … à la "case prison" !


Mais revenons un peu en arrière, pour mieux comprendre la décision du Juge.

Le 20 juin 2012, le Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette en Alabama, rendait un jugement dans l'affaire du divorce "Hollis contre Hollis", opposant Patricia Cole et l'homme qu'elle avait épousé le 18 mai 1991, le peintre Fred Nall Hollis. 

Cela faisait déjà  depuis septembre 2007, soit 7 ans, que  Patricia  Cole  avait introduit une instance en divorce pour altération définitive du lien conjugal, contre son  époux.

Le jugement  du  20 juin 2012, attribuait les propriété d'Alabama à Fred Nall Hollis, citoyen et résident américain. Soit : une boutique atelier dans le centre ville, et une maison au bord de la mer à Fairhope, Alabama, ravissante petite ville de villégiature chic sur le rivage du golfe du Mexique; les 2 propriétés ayant été  achetées  par Patricia "Tuscia" Cole avec ses fonds propres.

C'est à Patricia Cole que le Juge Langord Floyd attribuait, dans ce même jugement de 2012, et cela  par mesure d'équité, une maison sise à  Vence, dans le sud de la France ( Alpes Maritimes), maison aussi entièrement payée  en juillet 1991 sur les fonds propres de Patricia "Tuscia" Cole, comme cela a été démontré.

La date buttoir finalement donnée par le Juge pour que Fred Nall Hollis ( qui avait demandé des délais) quitte la maison de Vence,  était le 31 mars 2013.  Mais bien que le jugement lui ait été signifié, le peintre  Nall , citoyen et résident américain, répétons le, a  jusqu'à ce jour, toujours refusé de quitter ladite  maison Vence, qu'il occupe lors des ses nombreux séjours en France effectués avec un visa "touriste" ( visa qui lui  donne le droit de séjourner 3 mois par an en France ).


L'agenda secret de Fred Nall Hollis ?  Extorquer tout l'argent possible à son ex épouse, la dépouiller et la déposséder de tout ce qu'elle a pu posséder!


Non content de refuser de respecter le jugement rendu par le Juge Langford Floyd en  "squattant" ainsi la maison qui revient de droit à son ex épouse, Nall  a entre temps, sans autorisation et sans autre forme de procès, sans en avertir quiconque, procédé à la vente de la maison d'habitation de Fairhope,  Alabama, vente dont il a retiré la coquette somme de 1.100 000 US $. 

On  peut imaginer combien l'Honorable Langford Floyd  a pu  être furieux de constater l'attitude de Nall ! Le Juge américain a donc lancé une procédure contre lui pour outrage à magistrat, au motif qu'il n'a pas respecté le premier jugement rendu le 20 juin 2012, ni les délais qui lui avait généreusement été accordés pour quitter les lieux. Pour finir,  l'Honorable Juge Langford Floyd du tribunal de Bay Minette, Alabama,  a rendu le mercredi 29 octobre 2014 une décision sans appel: Nall avait14 jours, soit  jusqu'au 13 novembre 2014 pour rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, Patricia "Tuscia" Cole et quitter le lieux … 

L'ordonnance  temporaire rendue étati très claire: non seulement elle interdisait à Nall de vendre quelque propriété que ce soit avant la fin définitive de l'affaire, mais elle stipulait aussi qu'outre l'obligation de rendre les clefs  à "Tuscia" Patrica cole , Nall a aussi celle de laisser  à  Vence  tous les meubles meublants et oeuvres d'arts qui s'y trouvent.

Mais Nall refuse obstinément d'obéir au juge. Il démontre une volonté claire de chercher à nuire à son ex femme, et pour arriver à ses fins, n'hésite devant aucunes ruses, aucuns mensonges, aucune malhonnêteté.

Si le jugement américain lui est favorable ( il lui accorde les 2 propriété de Fairhope, Alabama), alors il trouve normal de l'appliquer. Mais si les clauses de ce jugement  ne lui sont pas favorables ( il doit donner la maison de Vence à son ex femme, qui l'a entièrement payée sur ses deniers), alors il s'abrite derrière des arguments fallacieux, refuse de laisser s'appliquer l'Exequatur, et de lui remettre les clefs et de lui laisser la propriété et la jouissance de ce bien.

Le juge d'Alabama lui interdit il de retirer quelque oeuvre d'art que ce soit de la propriété de Vence qui revient à son ex épouse? Qu'à cela ne tienne, il bafoue la loi, l'honneur du juge et embarque tout simplement tout ce qui lui plait, sous les yeux de témoins médusés. Ainsi depuis le 29 octobre 2014, il refuse obstinément de rendre les clefs de a propriété  à son ex femme, et utilise tous les mensonges et prétextes possibles pour cela. " j'ai donné l'ordre à mon avocat français, maître Salvia, de lui rendre les clefs, mais celui ci refuse de m'obéir " - l'argument fait sourire lorsqu'on sait qu'un avocat ne fait que respecter les ordres qui lui sont donnés par son client, et que le refus d'exécuter l'un de ses ordres est passible de sanctions du bâtonnier du conseil de l'ordre des avocats - . Finalement, il fait parvenir à son ex épouse une clef ( la propriété comporte au moins 10 corps de bâtiments ainsi qu'un portail automatique) qui n'ouvre aucunes portes pour la bonne raison qu'il a fait changer le 5 janvier  2015 toutes les clefs et tous les codes d'accès.

Quelle duplicité! 

Il a fallu que on épouse demande le concours de la force publique, ainsi que la présence d'un huissier et d'un serrurier pour qu'elle puisse enfin entrer. Cela alors même que par 3 fois, Fred Nall Hollis s'est engagé par écrit et devant témoins, à lui donner accès et pleine possession de ce bien !!!!

De la difficulté de faire appliquer un jugement américain en France

La justice n'est pas chose simple. La rendre est une chose, la faire appliquer , une autre paire de manche! L'exequatur est une procédure visant à donner, dans un État, force exécutoire à un jugement rendu à l'étranger. En effet, un jugement rendu dans un État n'est pas forcément reconnu dans un autre État. Quand bien même un jugement serait reconnu dans un autre État que celui où il a été prononcé, cette reconnaissance n'implique pas qu'il ait une force exécutoire.
Il sert aussi à rendre exécutoire une sentence arbitrale.
Le droit français est, du moins en théorie, relativement libéral, puisque la règle de droit commun en matière d'exequatur est prévue à l'article 509 du code de procédure civile, selon lequel : « Les jugements rendus par les tribunaux étrangers et les actes reçus par les officiers étrangers sont exécutoires sur le territoire de la République de la manière et dans les cas prévus par la loi ». Cependant, cette règle, existant depuis le code de procédure civile de 1806, ne s'est jamais appliquée en tant que telle, la jurisprudence en ayant précisé, pour ne pas dire durci, les conditions d'application.

Exequatur d'un jugement rendu en dehors de l'Union européenne
Le juge de l'exequatur statue par voie d'ordonnance. S'agissant du contrôle du juge en la matière, on remarquera que celui-ci est très restreint. Il permet seulement au juge de l'exequatur de contrôler que la sentence n'est pas entachée d'un vice trop grave. Celui-ci ne peut pas réviser la sentence sur le fond du droit. Aussi, opère-t-il une simple vérification de la régularité formelle de la sentence quant à sa conformité à l'ordre public. L'exequatur a pour effet de rendre la sentence arbitrale exécutoire et en permet l'exécution forcée (valant titre exécutoire il alors possible de recourir à toutes les voies d'exécution forcée telles que saisie exécution, attribution, etc.). 

A propos d'art: mais qu'est ce que la cote d'un artiste ?La petite carrière de Fred Nall Hollis dit NALL


Non content de ne pas respecter le premier jugement du Juge Floyd, en date du  20 juin 2012, Nall s'y est franchement opposé, allant jusqu'à accuser  son ex épouse et à la faire condamner ( condamnation à laquelle bien entendu celle ci a fait appel ), pour le vol supposé et la destruction d'oeuvres d'art, réclamant des sommes folles en dommages et intérêts ( on parle ici de plusieurs millions d'euros) , cela bien entendu en plus des biens qui lui ont déjà été attribués par le juge en Alabama lors du jugement de divorce ( biens évalués à 2 millions de dollars). L'affaire est d'autant plus sordide que "Tuscia" Patrica Cole, l'ex épouse,  à rendu à Nall et cela depuis longtemps, la totalité des pièces en question. Mais qu'à cela ne tienne! Nall est fermement décidé à dépouiller jusqu'au bout Tuscia, sa malheureuse et dévouée compagne ( rappelons au passage que c'est elle qui a financé la totalité des achats de biens immobiliers, dont la partie américaine revient aujourd'hui à Nall, qui en a déjà pris possession, alors même qu'il refuse de rendre à son ex épouse la propriété française qui lui revient de droit  suite au jugement de divorce). 

Pour la petite histoire, on se rappellera que l'année précédent son mariage avec Patricia Cole, Fred Nall Hollis déclarait au fisc américain 18 000 dollars  de revenus, soit environ 15 000 euros ! Comme on peut l'imaginer, ce n'est pas avec cette fortune qu'il pourrait s'acheter la splendide propriété Karolyi à Vence d'une valeur  de l'équivalent d'un million d'euros, soit 6,5 millions de francs à l'époque !

La triste et classique histoire d'un  "toxic gigolo" en herbe : quand Nall rencontre Tuscia !


En effet, on sait donc que lorsque Nall arrive dans le sud de la  France, dans les années 1980, il loue loué un appartement qui lui sert aussi d'atelier sur le cours Saleya à Nice, sur la Rivera française. Puis il se transfère dans la petit ville de Vence, sur les hauteur de Cagnes sur Mer, où il achète un atelier.  

Et là en 1990c'est le jackpot pour lui : il rencontre la jeune et richissime veuve d'un homme d'affaire décédé récemment, et dont elle vient d'hériter. 

Nall comprend tout tout de suite qu'elle est complètement subjuguée, et qu'il pourra la manipuler à loisir…  il lui propose le mariage, qui est célébré le 18 mai 1991. C'est le lendemain qu'il  propose à son épouse qu'elle lui achète, et il présente cela comme projet de vie, la maison de Vence.

Elle accepte. Et c'est le début pour elle d'une lent et insidieux processus qui amorce une véritable descente aux enfer.

Émotionnellement déstabilisée par son deuil tout récent, Patricia"Tuscia Cole"  citoyenne britannique,  est une ravissante jeune femme, brillante ( elle est parfaitement tri lingue anglais-français - italien ) et diplômée  de Sciences Po,  lInstitut d'études politiques de Paris (IEP Paris), établissement d'enseignement public ayant le statut de "Grande École".

La jeune femme à la demande de son nouveau mari, se dédie entièrement dans le lancement et la promotion de sa carrière de peintre, poussive qui jusque là. Elle se lance dans la bataille avec toutes ses forces  et dépense pour cela des sommes considérables, telles que chiffrées par l'expert comptable agréée par les tribunaux à 3,5 millions d'euros … cela sans compter les dépenses considérables en liquide et les achats de propriétés en France et aux USA.

Après 16 ans de promotion acharnée, sur le plan local entre Monaco, l'Italie où elle a ses racines maternelles, et l'Alabama, le travail de Tuscia Patricia Cole porte quelques fruits, et Nall semble acquérir un début de renommée très provinciale et circonscrite à la Principauté de Monaco, à quelques villes d'Italie et d'Alabama.

Mais au delà des dires des uns et des autres, pour avoir une idée de la véritable valeur des oeuvres de Nall aujourd'hui, la seule référence reconnue par les tribunaux pour déterminer la cote d'un artiste, c'est ce que l'on appelle "le prix au marteau" : c'est à dire le prix réel et effectif  obtenu dans le vents publiques. En regardant les résultats des ventes aux enchères au niveau mondial, sur Artprice par exemple ( Nall clame  à corps et à cris être un "artiste de renommée mondiale"  -sic -). Aucunes des pièces proposées à la vente  depuis une bonne dizaine d'années, n'a trouvé preneur,  au delà de 100 € pour le multiples et de 4900 € pour les originaux ( vente à Düsseldorf: l'Amour ), exception faite pour 2 pièces, "Iris Bleu" et "Security blancket",  achetées par Tuscia Cole en personne.

Du reste, l'oeuvre achetée quelques milliers de dollars par l'homme d'affaire américain,  ( qui, avec l'ancien Gouverneur d'Alabama, Don Siegelmann, a fini en prison  pour fraude, Mr Richard M. Scrushy, http://www.nytimes.com/2007/07/17/washington/17attorneys.html?_r=0   ) a été mise en vente il y a quelques années, dans un "vide grenier" en Alabama  pour la somme de 3000 $ : nul ne sait si il y trouvé un acquéreur !

"l'argent de ma femme, c'est seulement pour moi! Je vous préviens qui si vous lui prenez quoi que ce soit, vous me le rembourserez au centuple"


…  Ainsi Nall a déjà réussi à ruiner son ex épouse en la forçant à engager des frais pharamineux pour la promotion de sa carrière, a aussi réussi à récupéré  tous les biens achetés  par celle ci en Alabama, grâce au jugement rendu par l''Honorable Langford Floyd. 

Mais cela ne lui suffit pas.

C'est un manipulateur  pervers narcissique, séduisant, sympathique, qui sait charmer par ses flatteries, mais dont le seul objectif  est de dépouiller sa victime,Tuscia Patricia Cole, en la faisant entrer dans une spirale infernale de culpabilisation et de dévalorisation, en la rabaissant  et en  l’humiliant  - très vite, après leur mariage, il l'a bat, mais honteuse, elle se tait - , tout en prétendant vouloir son bonheur…  à tel point qu'à la suite d'une très grave et très longue maladie ( une septicémie) qui l'amènera  à être hospitalisée pendant 6 longs mois aux portes de la mort, 6  mois d'hospitalisation au long desquels Nall, qui est encore son mari à l'époque, ne lui rend pas une seule fois visite, Tuscia  ne se révolte même pas  et retourne dans le foyer conjugal. 

C'est à cette époque que lors d'une réunion avec un membre de l'association parisienne "la Mie de pain" , dédiée à l'aide au logement  et à l'alimentation des sans abris, que Patricia Cole souhaitait aider à organiser un gala de bienfaisance à Monaco, Fred Nall Hollis  profite d'une courte absence de son épouse pour marteler, en regardant droit dans les yeux les membres médusés de la "Mie de Pain" : "l'argent de ma femme , c'est seulement pour moi! Je vous préviens qui si vous lui prenez quoi que ce soit, vous le paierez très cher et vous me rembourserez au centuple".


Un artiste bidon qui trafique pour faire monter artificiellement sa cote.


Cet égocentrique utilise tous les trucs et toutes les ficelles du métier pour abuser ses acheteurs et "admirateurs", quant à la valeur de ses toiles.


- " les moyens de soutenir une cote font partie de ces zones d'ombres qui entourent le mécanisme des enchères : oeuvres officiellement achetées, mais jamais payées et donc retournées à l'artiste, par exemple. Certains artiste ou professionnels n'hésitant pas à "pousser" les enchères sur une oeuvre qu'ils veulent valoriser, sachant  qu'ils ont les moyens légaux  de ne pas conclure la vente au cas où elle viendrait à s'arrêter sur leur offre".

- Offrir des oeuvres à des gens célèbres de façon à pouvoir ensuite affirmer qu'on fait partie de la collection privée Untel et Untel. l'idéal est de réussir à s'infiltrait auprès de collectionneurs réputés propriétaire d'oeuvres de grands noms de la peinture et du monde de l'art, de façon à mettre son travail sur le même pied que celui de peintre célébrissimes.

-  Accoler son nom à celui de gens célèbres, en racontent des anecdotes sans grand intérêt. Nall par exemple aurait habité  à Vence dans l'ancien de Dubuffet : cela en réalité, n'indique absolument  pas que Nall ait le talent de ce grand maître. Mais qu'est ce que c'est "chic", n'est ce pas ? Idem pour les référence à Salvador Dali, qui aurait été son mentor pendant de longues années mais dont Nall n'a jamais fait voir aucunes photos !

la Nature and Art Life League ( Nall) association : une association pour promouvoir la carrière et les seuls intérêts de Fred Nall Hollis


Ce manipulateur peu scrupuleux n'hésite pas à réécrire son histoire en transformant la réalité. Il utilise des approximation, des contrevérités, dissimulant les faits les plus explicites, afin de faire de lui même un portrait flatteur. il n'hésite pas, par exemple à appeler l'association Nature Art and Life League, crée par son épouse Patricia Cole qui en a été la trésorière et le plus généreux ( et presqu'unique) donateur jusqu'à sa démission en 2007, "la `Fondation Nall". 

Pour clarifier les choses, il faut savoir qu'en France une fondation jouit d'une aura particulière. En effet le terme de fondation est défini par l'article 18 de la loi du 23 juillet 1987 : « Une fondation désigne l’acte par lequel une ou plusieurs personnes physiques ou morales décident l’affectation irrévocable de biens, droits ou ressources à la réalisation d’une œuvre d’intérêt général et à but non lucratif. » Cette loi ajoute qu'une fondation « ne jouit de la capacité juridique qu'à compter de la date d'entrée en vigueur du décret en Conseil d’État accordant la reconnaissance d'utilité publique. Elle acquiert alors le statut de fondation reconnue d'utilité publique. La création d'une fondation n'a pas pour but de servir des intérêts privés.

Bien entendu, tout cela n'est absolument pas le cas de l'association Nature and Art Life League, la dite association N.A.L.L dont l'objet principal a été au fil des années la promotion du  travail de Nall lui même ! Mais qu'à cela ne tienne Fred Nall Hollis n'en est pas à un mensonge prêt ! Il laisse à dessein planer le doute dans l''esprit des gens, car cela lui sert. Il n'est pas rare en effet d'entendre des naïfs s'indigner " C'est honteux que Patricia Cole veuille reprendre la propriété de Vence: c'est une Fondation ! ".

Et au ton sur lequel il le disent on comprend le respect que le mot leur inspire.

Mais en réalité,  la Nature and Art Life League ( Nall) association, n'a jamais été une fondation. Une fondation, c’est avant tout de l’argent privé mis à disposition d’une cause publique. À l'inverse la Nature and Art Life League ( Nall) association résulte du concours de volonté de plusieurs personnes pour œuvrer ensemble à la promotion de la carrière de Fred Nall Hollis. Qu'accessoirement, et toujours dans ce but, l'association ait hébergés quelles stagiaires ou artistes en résidence ne change rien aux faits.

Hollis contre Hollis : un divorce douloureux


Ce n'est qu'en 2007 que Patricia Cole trouvera la force de demande le divorce pour altération définitive du lien conjugal. Elle n'apprendra que lors de sa déposition sous serment que son ex époux l'avait toujours trompé… ce qu'il confirmera devant le  greffe en ces termes  "j'ai trompé ma femme depuis le premier jour de notre mariage".

C'est ainsi que pour achever son "oeuvre", et dans la cynique logique qui est la sienne depuis le début, alors même que son ex épouse  lui a rendu depuis 2012, tous les tableaux qu'elle avait pu dans un moment de colère, mettre de côté, Nall l'assigne en justice pour "vol ( le divorce est prononcé depuis la veille,  et le vol entre époux n'existe pas) et réclame, en France et en Alabama ….. plusieurs  millions  d'euros de dommages et intérêts ! 

Dans la liste qu'il soumet à la justice,  comme justificatif de sa demande extravagante de dommage et intérêt, il n'hésite pas à inclure des objets appartenant en propre a Patricia Cole, dont elle a hérité de son défunt mari. 

Quant aux estimations de la valeur des oeuvres ( qui rappelons le, lui ont toutes été rendues depuis longtemps ), c'est du franc délire. Par exemple, on y découvre une "estimation"  de Nall pour un tableau "la pucelle"  ( crayon, encre de chine et aquarelle) à hauteur de  centaines de milliers d'euros,  alors qu'une d'une pièce similaire "la soumission" , numéro 91 du catalogue, évaluée par l'expert entre 2000 à 3000 euros  n'a pas trouvé acquéreur dans a la vente publique du Samedi 26 juillet 2014 à Monaco, faute d'enchère.

Un mix media  de format moyen s'est vendu 480 euros en 2013 lors d'une vente aux enchères, "Door un Sousse" , alors que  Nall attribue à des pièces similaire des valeurs allant de 25 000 à 60 000 euros.

Pire, les recherches sur sa cote démontrent que sur  la plupart des oeuvres proposées à la vente ces dernières années  n'ont pas  trouvé preneurs, ou alors ont ét évendues à des prix très bas. Toute la liste est du même acabit, et les oeuvres équivalentes à celles qui se voient "ravalées" ( invendues) aux enchères, se voient attribuées par NALL des valeurs délirantes, bien éloignée de la simple réalité.

Devant tant d'injustice, de mensonge et de duplicité, il semble bien que son ex épouse et victime Patricia "Tuscia" Cole ait enfin trouvé le courage de se battre pour sa dignité.

L'Honorable  Langford Floyd du tribunal de Bay Minette, Alabama  a tranché : avant le 13 novembre 2014, Nall devait rendre les clef de la maison de Vence à son ex épouse, et il lui était formellement interdit de retirer quoi que ce soit de la maison de Vence, hormis ses effets strictement personnels ( vêtements, objets de toilette). Pour l'instant, Nall n'a toujours pas remis les clefs de la propriété de Vence à son ex épouse !  Finira-t-il  en prison pour outrage à magistrat ou par entendre enfin raison et rendre à Tuscia ce qui appartient à Tuscia!

Françoise Zorro


Notes annexes 

Sur L'association Nature and Art Life League, la vie de Nall et son parcours, on peut consulter le site wikipedia http://en.wikipedia.org/wiki/Fred_Nall_Hollis


nb: Outrage à magistrat/ Contempt of court, ce mot qui signifie en anglais  «mépris», est le délit de désobéissance irrespectueuse envers un tribunal et ses officiers.  C'est un défi à l'autorité,  à la justice et à la dignité du tribunal. Elle se manifeste par un  mépris volontaire ou manque de respect pour l'autorité d'un tribunal, un comportement qui est illégal parce qu'il n'obéit pas ou ne respecte pas les règles d'un tribunal.
Comme expliqué dans la populaire Law Dictionary par Gerald et Kathleen Hill, "il existe essentiellement deux types de "contempt" ( outrage à magistrat)  : (1) être impoli, irrespectueux envers le juge ou d'autres avocats ou causer une perturbation dans la salle d'audience, en particulier après avoir été averti par le juge ; (2) l'omission volontaire d'obéir à un ordre de la cour ». 

les procédure de "contempt"  sont particulièrement utilisées pour faire appliquer des jugements équitables, tels que des injonctions.
Le juge peut imposer des amendes et / ou une peine de prison à toute personne qui a commis un outrage au tribunal.

les pervers narcissiques



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